Ce n’est pas un mais bien deux ateliers qu’EVAD a présenté aux classes de seconde du lycée, ce qui a mobilisé ses forces vives mais permis de diviser les classes en deux pour permettre aux élèves de mieux se concentrer.
Le premier atelier, à l’intérieur, portait sur les équipements obligatoires du vélo, un prérequis souvent négligé par les cyclistes, notamment les plus jeunes, et parfois par les fabricants de vélo. Chaque demi-classe était de nouveau divisée en deux et chaque groupe se retrouvait devant un vélo dépouillé de ses accessoires, charge aux élèves de tout remettre en ordre en puisant dans une réserve d’équipements où s’étaient mêlés quelques intrus. S’ensuivait un débriefing collectif qui permettait de dissiper quelques doutes, malentendus et autres idées reçues.
En l’absence de bus prêté par les opérateurs de transports en commun de la métropole, c’est autour d’un gros véhiculaire utilitaire loué pour l’occasion que se retrouvait, dehors cette fois, l’autre partie de la classe. Le but recherché des ateliers « angles morts » est la bonne cohabitation entre bus urbains et usagers de la rue : piétons, vélos, deux-roues motorisés.
Assis au volant, les lycéens pouvaient alors constater que le chauffeur ne peut avoir qu’une vue très restreinte de l’environnement de son véhicule.
EVAD remercie les élèves du lycée pour leur écoute et l’équipe pédagogique pour son accueil.
– télécharger le dépliant « Vélo, bus, camions, cohabitons ! » diffusé lors de cette opération
– à consulter : les bons comportements du cycliste sur la rue et Choisir son éclairage sur le site de FUB.